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Des milliers d’entre vous ont agi en faveur des filles qui fuient les mutilations génitales féminines et le mariage précoce au Kenya, et nous tenions  à vous informer des progrès accomplis !

« J’ai fui les MGF en 2006 et tout le monde dans le village, y compris les membres de ma famille, pensait que j’étais lâche […] Aujourd’hui, je suis revenue à la maison et j’ai démontré à la communauté que l’excision n’est pas nécessaire. J’ai terminé mes études secondaires et reçu une très bonne note. J’attends maintenant d’aller à l’université… »
– Une fille abritée par Tasaru Rescue Centre

Au cours des derniers mois, la nouvelle Commission de lutte contre les MGF et le directeur des poursuites publiques  (DPP) de l’Unité de lutte contre les MGF ont redoublé d’efforts pour enquêter sur les affaires de MGF, faire appliquer la loi de 2011 et éduquer les communautés sur les méfaits des MGF et du mariage précoce (les MGF sont souvent effectuées en tant que précurseur au mariage précoce). L’Unité  a été déployée à travers le Kenya dans les zones à forte prévalence, et dès les premières semaines plusieurs affaires impliquant des parents, des exciseuses et un chef qui avait omis de signaler la pratique ont été portées devant les tribunaux.

À l’échelle nationale, les législateurs kenyans ont réitéré que les contrevenants à la loi seront poursuivis, et les parlementaires se penchent sur une motion qui vise à augmenter les peines en cas de MGF et à réexaminer en détail les affaires de MGF existantes. Bien qu’il reste encore beaucoup de travail à effectuer, ces développements démontrent que nos initiatives conjuguées portent leurs fruits. Au nom d’Egalité Maintenant et de nos partenaires kenyans, Tasaru Ntomonok Initiative et Women Rights Institute for Peace, merci de votre soutien ! Nous continuerons à vous informer au fur et à mesure que la campagne progresse.

Pour en savoir plus sur la campagne et la partager, consultez Equality Now.

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HAPPENING – 2 MAR S 2024 -Non à la médicalisation de l’excision- Paris

Une cinquantaine d’associations militantes, fédérées par Diaryatou Bah, fondatrice d’« Espoirs et combats de femmes » se sont données rendez-vous le samedi 2 mars à 14h30 devant la Mairie du 20ème arrondissement de Paris, pour unir les forces et les voix contre les mutilations sexuelles féminines et leur médicalisation.
Cet événement venait clôturé la campagne de sensibilisation « Non à la médicalisation de l’excision ! » lancée sur les réseaux sociaux le 6 février 2024 et rejointe par de nombreuses associations et personnalités de premier plan. Plusieurs d’entre elles se sont exprimées lors de ce rassemblement, pour alerter et informer contre des pratiques qui perdurent et dont le recul est menacé par le recours à la médicalisation.