Opération d’un mois contre l’excision – #Nonalexcision

Partager cette publication

C’est parti pour une grande Opération d’un mois contre l’Excision :

Pour le logo du happening du 6 février, nous avons choisi une image forte. Aussi, nous nous sommes appropriés le panneau de circulation rond et rouge signifiant « sens interdit ».

Ce logo est pour nous important, car il reste efficace en toute circonstance. On comprend tout de suite qu’il s’agit d’une opposition, d’un refus, d’un rejet pur et simple de cette pratique néfaste qu’est l’excision par l’inscription Non à l’excision dans le cadre blanc.

« Non à l’excision » : le message est lancé.

Le logo est disponible dans l’onglet « photos » de la Page Facebook « Non à l’excision, ici et là-bas ». Facile à reproduire, copier-coller et vous faire photographier, vous pouvez donc le faire vous-même, chez vous.

Dans tous les cas, nous vous invitons à vous faire photographier avec cette image et à la poster sur les réseaux sociaux accompagnée de la mention #nonalexcision afin d’apporter votre soutien dans la lutte nécessaire contre les mutilations génitales féminines, ici, et là-bas.

Merci à vous tous de jouer le jeu à l’unisson.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *


Plus à explorer

Nos événements

HAPPENING – 2 MAR S 2024 -Non à la médicalisation de l’excision- Paris

Une cinquantaine d’associations militantes, fédérées par Diaryatou Bah, fondatrice d’« Espoirs et combats de femmes » se sont données rendez-vous le samedi 2 mars à 14h30 devant la Mairie du 20ème arrondissement de Paris, pour unir les forces et les voix contre les mutilations sexuelles féminines et leur médicalisation.
Cet événement venait clôturé la campagne de sensibilisation « Non à la médicalisation de l’excision ! » lancée sur les réseaux sociaux le 6 février 2024 et rejointe par de nombreuses associations et personnalités de premier plan. Plusieurs d’entre elles se sont exprimées lors de ce rassemblement, pour alerter et informer contre des pratiques qui perdurent et dont le recul est menacé par le recours à la médicalisation.