Les femmes autochtones de Colombie contestent l’excision

Partager cette publication

[et_pb_section fb_built= »1″ admin_label= »section » _builder_version= »3.22″][et_pb_row admin_label= »row » _builder_version= »3.25″ background_size= »initial » background_position= »top_left » background_repeat= »repeat »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »3.25″ custom_padding= »||| » custom_padding__hover= »||| »][et_pb_text admin_label= »Text » _builder_version= »4.9.4″ hover_enabled= »0″ sticky_enabled= »0″]

Source : Latina.com

Pendant des centaines d’années, les Embera Chami, un groupe autochtone en Colombie, ont conservé une pratique sacrée sexuée appelée « la guérison », qui est plus communément connue à travers le monde comme les mutilations sexuelles féminines (MSF). Aujourd’hui, ce « processus de purification » est contesté par les femmes autochtones dans la communauté.

L’attitude dans cette région colombienne a en effet changé en 2007, quand une fillette Embera nouvelle-née est morte après son excision. Elle a été emmenée dans un hôpital de Pueblo Rico, où un médecin a remarqué que son clitoris avait été enlevé. Après, un fonctionnaire local a averti les médias nationaux au sujet de cette petite fille : la Colombie est alors devenue le premier pays sud-américain a avoir un cas rapporté de l’excision.

[/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][/et_pb_section]

3 réponses sur « Les femmes autochtones de Colombie contestent l’excision »

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *


Plus à explorer